Les hormones herbicides peuvent agir comme un moteur du développement de la résistance
Contexte: Les hormones herbicides peuvent jouer un rôle dans le développement de la résistance des mauvaises herbes en augmentant la sélection de résistance. La dose standard d'herbicides peut être non toxique pour les plantes résistantes et les rendre plus appropriées que les plantes non traitées. Si cette augmentation de l'aptitude est finalement exprimée dans les caractères reproductifs, les gènes de résistance peuvent s'accumuler plus rapidement et exacerber le développement de la résistance en amplifiant la différence de sélection entre les plantes résistantes et sensibles. L'hypothèse de la capacité de reproduction hormonale améliorée du biotype du site cible (TSII) du photosystème II (PSII) a été étudiée pour Chenopodium album exposé au métamétron triazinone par rapport à celui du type sauvage.
Résultats: Les deux modèles ont montré une augmentation de la croissance hormonale primaire à différentes doses, ce qui a amélioré la forme physique de 19% et 61% supra-central. Cependant, les effets hormonaux n'ont fait qu'améliorer l'aptitude à maturité des plantes résistantes avec une stimulation maximale du rendement en graines de 45% par rapport aux plantes non traitées. En appliquant des taux de métamétron réalistes, la capacité de reproduction accrue des plantes résistantes a été absorbée de 15 à 32%.
CONCLUSIONS: Des doses culturellement pertinentes de métamétron ont induit une formation hormonale significative dans le génotype PSII-TSR C. Cela conduit à une amélioration de l'aptitude relative grâce à la maturité reproductive. Elle a remporté un beau site. Atteint, les modificateurs de champ d'herbicides qui sélectionnent les plantes résistantes peuvent non seulement améliorer leur aptitude à la reproduction. La découverte que les hormones herbicides pourraient être une tâche évolutive environnementale peut avoir des implications importantes pour comprendre l'évolution de la résistance aux herbicides chez les mauvaises herbes. © 2018 Association de l'industrie chimique.
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